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flood

6 mai 2007

flood !

<12starps> Mais nan unptitour :x
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12red86> uaip.. on a pasle temps de lire
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<04latitemisse> bon c'est pas top le copier coller
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
[23:50:13] 7 101010 J'ai été kické par lancome ! (un tour aussi)<12deejazz> uaip> t'arretes de flooder
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
<12uaip> En effet, l'apologue est qualifié de plurigénérique. C'est à dire qu'il peut s'insérer dans de nombreux genre de littérature. D'une part, l'annonce d'une morale peut se dérouler à la suite d'un récit de voyage. Le roman éponyme Candide de Voltaire par exemple, quoi que pouvant être associé à plusieurs genres, est également décrit comme un récit de voyage. Pourtant il participe fortement à la volonté d'un enseignement moral de façon didactique.
<12uaip> De plus, nous pouvons trouver l'apologue à travers un feuilleton ; c'est à dire une série découpée en chapîtres, relativement courts, contenants des titres ; ou bien encore dans un registre tragique, où le héros meurt finalement, ce qui peut ensuite être complété par l'auteur d'une éthique, ou, pour finir, dans une autobiographie, dans laquelle l'auteur veut témoigner d'une érreur qu'il aurait comise...
<12uaip> Ainsi, l'apologue peut être mis en relation avec de multiples genres de récit, cette plurigénéralité favorisant une meilleure intégration de l'apologue.
<12uaip> En conclusion, nous pouvons remarquer que la thèse de La Fontaine "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui." est valable, valorisant le contraste entre la "morale nue", qui est associée a "l'ennui" et "le conte qui fait passer le précepte avec lui". Il faut toutefois nuancer deux types de conte, celui qui émerveille, et celui qui, éffectivement, dissimule un précepte. C'est en effet ce dernier qui semble être une caractéristique de l'apologue, qui recher avant tout une argumentation fiable et la mise en valeur d'un enseignement moraliste.
<12uaip> Ainsi, les fables de La Fontaine , une des mises en forme de l'apologue, ont, dérrière leur histoire courte et plaisante une visée didactique et moraliste, cherchant a remettre en question certains point de vue encore troubles de son époque. Mais ne pourraient-elles pas également considérées, d'un point de vue totalement subjectif, comme une sorte de propagande contrela réalité des thèmes caricaturés ?
<12uaip> Dissertation
<12uaip> Au cours du XVII ème Jean de La Fontaine écrit au total deux cent quarante trois fables dont chacune se finit par une morale visant à faire réfléchir sur l'homme et émettre des critiques pour l'améliorer.
<12uaip> Parmis ces fables se trouve Le pâtre et le lion dans laquelle Jean de La Fontaine déclare "Une morale nue apporte l'ennui / Le conte fait passer le précepte avec lui". Ainsi il semble clairement expliquer que l'argumentation n'est pas négligeable dans un texte éthique et il convient de divulguer le précepte, donc les règles d'enseignement, dans un univers utopique et fantaisique qu'est celui du conte, a travers toutefois l'utilisation de l'apologue, récit, généralement de caractère moral, qui sous-tend une argumentation implicite ; le but étant d'instruire en divertissant.
<12uaip> Selon quelles caractéristiques peut-on associer un conte éthique à l'apologue ? Cependant, ne peut-on pas écarter ces deux termes sur quelques points de vue tout en conservant leur sens prédominant ?
<12uaip> Nous nous pencherons d'abord à la fois sur le genre de l'apologue et sur le contraste entre "une morale nue" et "un conte" puis nous dissocierons les deux formes possibles du "conte" afin d'anaylser, pour finir, en quoi le terme d'"apologue" depasse parfois celui du "conte", pouvant ainsi se révéler plurigénérique.
<12uaip> Pour commencer, nous pouvons définir "un conte" faisant "passer le précepte avec lui", donc introduicant une argumentation a visée didactique, comme une des "caractéristiques de l'apologue".
<12uaip> D'une part, comme nous l'annonce La Fontaine, "une morale nue apporte l'ennui". En effet,s ans argumentation, aucun conseil ne peut être correctement toléré, quel qu'il soit. L'art de convaincre, ainsi que celui de persuader, requiert toujours de l'utilisation d'une argumentation dont l'impact ne peut provoquer qu'une remise en cause de soi-même face au sujet traité.
<12uaip> D'autre part, le conte, souvent une mise en scène imaginaire mettant en place des personnages caractéristiques d'une valeur, bien ou mal, de la société dans un univers tout à fait fantastique, possède la possibilité d'impliquer un précepte, donc une ou pluseurs règles d'enseignement. Placere/docere signifiant instruire en divertissant et l'une des caractéristique de l'apologue, qui se veut également de sous-tendre une argumentation, toujours dans le but d'être le plus convaincant possible. Cet attribut se retrouve également dans le conte.
<12uaip> Enfin, et cela quel que soit le genre d'ouvrage, l'apologue se veut offrir au lecteur un enseignement moral et didactique mais pour cela, il est contraint d'être renforcé par une argumentation, généralement indirecte.
<12uaip> Ainsi, le conte, dans lequel est contenu un précepte, est une caractéristique de l'apologue : plaire en instruisant et insérer une argumentation fiable, surplombant ainsi la morale nue qui semble amener l'ennui, sont les points primordiaux du récit didactique.
<12uaip> Il n'en reste pas moins que confiner le conte comme une caractéristique de l'apologue semble restrictif. Ainsi le conte est-il forcément dépendant du caractère de l'apologue ? Ne peut-il pas se qualifier d'une autre manière, comme celle de l'utopie ?
<12uaip> Nous pouvons admettre que, malgré sa compatibilité parfaite avec l'apologue, le terme de "conte" a été pris jusqu'ici au sens restraint.
<12uaip> En effet, il se laisse dessiner un contraste selon le catégories de conte. Nous pouvons observer un clivage entre le conte de fée et le conte philosophique. C'est en effet le seccond qui possède les caractériqtiques de l'apologue.
<12uaip> Ainsi, pour ce qui est du conte philosophique, c'est une parodie du conte de fée, mais dont les caractéristiques ont une visée satirique de la société, dans le but de remettre le lecteur en cause. Pour cela il est contraint d'utiliser l'apologue, récit court et plaisant.
<12uaip> Quant au conte de fée, il repond tout bonnement à des critères qui lui sont spécifiques. On trouve par exemple dans l'incipit la formule "il était une fois", son lieu emblématique est celui d'un chateau et chaque personnage illustre une caractéristique de la personnalité humaine, souvent des défaut caricaturés, clins d'oeil à la société de l'époque.
<12uaip> Nous observons donc une légère nuance entre ces deux sortes de conte, mettant en valeur le fait que le conte n'est pas toujours un sbstitut de l'apologue.   
<12uaip> Ainsi, la morale nue, nous l'avons vue, est affectée d'un manque de rigueur, elle a besoin d'être renforcée d'une argumentation convaincante accompagnée d'un registre didactique. Ces caractéristiques sont propres a l'apologue qui, par le biais du conte par exemple, fait passer un précepte. Cependant, le conte n'est pas toujours adéquat pour l'apologue.
<12uaip> Mais celui-ci ne peut-il pas aller au dela de l'expression du conte, laissant ainsi fleurir l'ensemble de ce que l'on appelle le plurigénérique ?
<12uaip> L'apologue peut s'exprimer, nous l'avons vu, à travers le conte, mais n'y a t-il pas d'autres moyens d'expression, tels le récit de voyage, le recit philosophique ou le feuilleton, par exemple ?
7 101010 J'ai été kické par lancome ! (un tour aussi)

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